SansCrierArt : Aperçu critique de l'actualité culturelle. Comptes-rendus d'expositions, de pièces de théâtre, de films et de tous autres évènements culturels.

11 mai 2017 4 11 /05 /mai /2017 18:13

L'artiste plasticienne Prune Noury dont l'oeuvre Terracota Daughters, exposée au 104 en avril 2014, nous avait tant impressionnée, signera ce vendredi 12 mai, à la librairie du Centre Pompidou,  l'ouvrage Serendipity. 

Ce livre, rétrospectif de 10 ans de travail, publié aux éditions Actes Sud, présente les voyages, les rencontres et les recherches qui ont donné naissance aux oeuvres Bébés domestiques, Process, le tryptique sacré Holy Daughters-Holy River et Terracotta Daughters.

*Signature à la librairie Flammarion du Centre Pompidou vendredi 12 mai de 18h30 à 20h.

*Prune Nourry est exposée au Musée Guimet jusqu'au 18 septembre.

 

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28 avril 2017 5 28 /04 /avril /2017 16:31

La galerie Les Douches présente une soixantaine d'oeuvres réalisées par Ray Mezker dans les années 60. Le photographe Américain, aujourd' hui décédé, a consacré l'ensemble de son travail au noir et blanc. Ses oeuvres impressionnent par leur composition très graphique et la finesse de leur tirage. Le photographe aimait retravailler ses photographies sur les négatifs et multiplier les manipulations pour explorer sa créativité. Aux Douches, on remarque des montages ainsi que des oeuvres juxtaposant plusieurs clichés. Les photos les plus marquantes transpirent une certaine solitude dans les rues des Etats Unis ou d'Europe.

A voir jusqu'au 27 mai - Galerie Les Douches - 5, rue Legouvé Paris 10e

Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
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19 avril 2017 3 19 /04 /avril /2017 14:44

L'artiste vénézuélien expose 15 oeuvres réalisées entre 2010 et 2016. Il s'agit d'art cinétique prenant la forme de mobiles programmés composés de la répétition de formes géométriques simples. Ces oeuvres s'animent dans l'espace selon des chorégraphies d'une durée précise et aux mouvements milimétrés. La précision de chaque séquence est impressionante. Ingénieur de formation, Elias Crespin est venu à l'art inspiré notamment par Jésus Raphael Soto ; tous deux présentaient d'ailleurs des oeuvres à la fameuse exposition Dynamo au Grand Palais en 2013. L'oeuvre Circulation inception, seule oeuvre accompagnée d'une musique composée pour l'occasion, est sans doute la plus impressionnante, la musique participant particulièrement efficacement à l'effet hypnotique. Dans un autre genre, Tetralineados Fluo vert, oeuvre plongée dans le noir, fascine par la fluidité de ses mouvements qui la rapproche du vivant.

Bien que cela n'est pas beaucoup de sens, l'art cinétique ne pouvant s'apprécier qu'au réel, vous trouverez ci-dessous des photos des oeuvres exposées et  ici, une vidéo de Laurence V.

A voir jusqu'au 6 mai. Entrée gratuite.

Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
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1 avril 2017 6 01 /04 /avril /2017 20:13

Le musée Maillol consacre une belle exposition à Paul Rosenberg, l'un des plus grands marchands d'art de la première moitié du XXe siècle et grand promoteur de l'art moderne. L'exposition divisée en deux grandes parties présente une soixantaine d'oeuvres. La première partie, la plus intéressante, affiche une scénographie qui évoque la galerie du 21, rue de la Boétie. De grandes photos noir et blanc de la galerie grandeur nature, des murs bordeaux, une moquette épaisse, des invitations aux expositions, des contrats, de la correspondance guident l'imagination du visiteur vers ce que devait être ce lieu prestigieux accueillant des peintres déjà confirmés et surtout de futurs artistes illustres. Des oeuvres de Picasso, Braque, Léger, Matisse, Laurencin, Monet, Seurat, Sisley, Manet, Cézanne... sont exposées. La seconde partie est consacrée à la main mise du régime nazi sur l'art en général dont les biens de Paul Rosenberg. Une dizaine d'œuvres représentantes de l'art officiel allemand, en opposition à l'art considéré comme dégénéré, sont exposées ainsi que des documents expliquant la spoliation des oeuvres chez les particuliers et dans les musées nationaux, la transformation de la galerie du 21, rue de la Boétie en haut lieu de l'antisémitisme puis l'interception d'oeuvres en partance pour l'Allemagne lors de la débâcle. Le parcours se termine par l'évocation de la relation qui unissait Maillol et Rosenberg, l'exposition d'oeuvres de la période New-yorkaise (dont une de Nicolas de Staël et le portrait d'Anne Sinclair par Marie Laurencin) et par Profil bleu devant la cheminée, oeuvre de Matisse retrouvée en 2012 dans la collection du centre d'art norvégien Henie-Onstad et rendue à son vrai propriétaire, la famille Rosenberg.

Cette exposition dessine le génie d'un homme d'art qui présenta côte à côte les rassurants impressionnistes et les innovants modernistes pour mieux vendre ces derniers et s'est battu jusqu'à sa mort pour récupérer ses biens détournés par le régime nazi.

À voir jusqu'au 23 juillet 2017

Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
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23 mars 2017 4 23 /03 /mars /2017 18:54

Difficile de ne pas être informé de l'existence de cet évènement tant les médias en ont parlé. Il est vrai qu'il n'est pas courant que 12 oeuvres de Johannes Vermeer soient réunies en une même exposition. Seuls 37 tableaux dispersés dans les musées et collections privées dans le monde sont aujourd'hui identifiés comme ayant été exécutés par le maître Hollandais. Alors pour les amoureux de la peinture, l'occasion d'en voir 12 d'un coup ne se rate pas. 

Le musée du Louvre, s'est associé à la National Gallery de Dublin et la National Gallery of Art de Washington, pour organiser cette réunion de près de 70 toiles de maîtres hollandais de la peinture de genre. On retrouve ainsi autour des oeuvres de Vermeer, celles de Gérard Dou, Gérard ter Borch, Jan Steen, Pieter de Hooch, Gabriel Metsu, Caspar Netscher, Frans van Mieris... Leurs peintures affichent le témoignage flatteur d'une époque de grande prospérité aux Pays-Bas. La scénographie, organisée par thèmes, met en évidence les similitudes, tant dans les inspirations que dans les compositions, qui existent entre les différents travaux de ces peintres. Tous, à la fois concurrents et confrères, s'inspiraient du travail des autres. Sans être fan de Vermeer et de sa lumière un peu floue, un peu laiteuse, on est impressionné par la précision de son pinceau, la beauté de ses compositions et l'intensité qui ressort de chaque oeuvre. Ici, Le Géographe, La Lettre et La Laitière, les oeuvres les moins marquées par ce blanc de chaux, impressionnent particulièrement. A côté, les tableaux des autres peintres font belle figure, telles Femme à sa toilette de Jan Steen, Conversation galante de Gérard ter Borch, Jeune femme lisant une lettre de Gabriel Metsu, Le verre levé de Peter de Hooch et bien d'autres...

A voir jusqu'au 22 mai 2017. Réservation obligatoire.

Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
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23 mars 2017 4 23 /03 /mars /2017 18:48

Le duo d'artistes Américains Faile expose pour la première fois à la gallery Magda Danisz. Sur deux étages, prés de trentes oeuvres de grands formats sont présentées. Au rez de chaussée, on retrouve leur style particulier largement inspiré de l'iconographie américaine des années 50. Leurs oeuvres créées telles des patchworks sont faites d'une multitudes d'images piochées notamment dans la culture des comics, du pop art, de la publicité de l'époque. Les techniques utilisées sont multiples : peinture acrylique, bombe aérosol, sérigraphie, collages, découpages, utilisation du bois, du papier, du tissu, du cuivre... Un régal à scruter tant les détails surprenants sont nombreux. Au premier étage, les deux artistes affichent un style nouveau, plus épuré, tout à la fois différent et fidèle à leur travail. A voir jusqu'au 29 avril 2017.

Pour voir toutes les photos de l'exposition : cliquez ICI

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4 février 2017 6 04 /02 /février /2017 18:42

L'exposition Picasso-Giacometti ferme ses portes demain soir. Le musée y présente côte à côte les œuvres des deux artistes, qui furent amis et qui se vouaient une admiration mutuelle. A travers 200 œuvres (peintures, dessins et sculptures), l'exposition montre l'évolution de leurs parcours et les similitudes de leurs recherches artistiques. Les œuvres extravagantes et débordantes de Picasso et celles épurées et meurtries de Giacometti se répondent.

Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
Picasso - Giacometti au musée Picasso
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28 janvier 2017 6 28 /01 /janvier /2017 21:46

La 7e édition du festival Circulation(s) a débuté le 21 janvier et s'achèvera le 5 mars. Ce sont pas moins de 800 jeunes photographes européens qui ont présenté leur travaux au jury qui en a retenu 25 exposés lors du festival. Cette année encore le conceptuel prend la plus grande place, éloignant un peu ce festival de l'art purement photographique. On retient néanmoins le travail de plusieurs artistes intéressants :

 

Edouard Taufenbach "Cinéma, histoires domestiques" : le photographe créée chaque photographie en découpant et démultipliant une seule et même photo de famille. Les pièces ainsi assemblées semblent contées une histoire telles des pellicules de cinéma.   

 

 

Kate Fichard "Scarecrow" : la photographe et le plasticien Hugo Deniau remettent au goût du jour les épouvantails leur donnant l'allure de ce qui créé certaines terreurs contemporaines. 

 

 

 

 

Petros Koublis "In Landscapes" : ces photographies de paysages situés à moins de 50km d'Athénes, en plus d'être beaux, ne manquent pas de caractère.

 

 

Sanne de Wilde "The Island of the Colorblind" : 10% des habitants de l'île de Pingelap dans l'océan pacifique sont atteints d'achromatie (ils ne perçoivent pas la trichromie). Sanne de Wilde tentent de montrer, via ses photos en noir et blanc et en infrarouge et via des installations, leurs conditions de vie, dans le dénuement, fuyant la lumière qui les éblouit, le monde tel qu'ils le voit et leur île telle qu'ils l'imaginent en les invitant à peintre certaines photos. Beau et troublant.

 

Sonja Hamad "Women - life - freedom" : Sonja Hamad nous présente des portraits de femmes se battant dans l'armée kurde contre l'état islamique en Syrie. De belles photographies qui interpellent et témoignent de l'évolution du statut des femmes dans cette région.

 

 

Thiemo Kloss "Dark blue" : Thiemo Kloss découpe dans des photographies d'une même personne prise dans différentes positions des bandes verticales qu'il assemble et superpose ensuite pour composer sa propre photographie. Ces oeuvres sont proches de tableaux graphiquement hypnotisant.

 

Thodoris Papadakis "Home Again" : un cube aménagé comme l'intérieur d'une habitation et habité par un individu a été placé dans différents espaces publics. La vie intime devient visible pour le public de la rue. En dehors du message que ces installations sont censées porter, les photographies qui en sont issues sont très belles par leur lumière, leurs couleurs et l'incongruité de la situation.

 

Weronika Gesicka "Traces" : la photographe (à l'origine de la photographie de l'affiche du festival) acquière des photos vintage qu'elle modifie et manipule, leur donnant des airs de quatrième dimension plutôt réjouissante. Esthétiquement sympa et drôle.

 

Festival Circulation(s) au 104
Festival Circulation(s) au 104
Festival Circulation(s) au 104
Festival Circulation(s) au 104
Festival Circulation(s) au 104
Festival Circulation(s) au 104
Festival Circulation(s) au 104
Festival Circulation(s) au 104
Festival Circulation(s) au 104
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Festival Circulation(s) au 104
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Festival Circulation(s) au 104
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Festival Circulation(s) au 104
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Festival Circulation(s) au 104
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Festival Circulation(s) au 104
Festival Circulation(s) au 104
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9 janvier 2017 1 09 /01 /janvier /2017 20:29

L'équipe organisatrice de la Réserve de Malakoff qui nous avait enchanté avec son Grand 8 il y a quelques mois à peine, nous convie cette fois dans d'anciens locaux de la Poste aujourd'hui propriétés de la ville de Paris. Tout comme pour la Réserve, les locaux étant destinés à être détruits, les artistes sont invités à prendre pleinement possession des lieux. Depuis début décembre et jusqu'au 25 janvier, les plasticiens et graffeurs créent sous les yeux des visiteurs et dans le cadre décalé de ces anciens bureaux. A partir du 25 janvier et jusqu'au 26 février, les œuvres seront exposées dans leur état final. Vous l'avez donc compris, ce que les visiteurs ont vu en décembre n'est déjà plus tout à fait identique aujourd'hui et le sera encore moins le 25 janvier.

Ce lieu à la configuration complexe avec ces escaliers, ces couloirs étroits et ces petits bureaux, à la fois résidence d'artistes et lieu d'exposition, n'est pas aisé à aborder. Malgré tout, entre créations/installations achevées, celles en cours abandonnées ou en présence de l'artiste au travail et les œuvres plus sagement exposées (et à la vente) dans les deux salles d'exposition, il y a pas mal de choses à voir. Si toutes les œuvres ne marquent pas, la diversité des styles, le bordel plus ou moins organisé, l'accueil sympathique des artistes et la musique d'accompagnement valent largement le déplacement et donnent très envie de revenir admirer l'ensemble des oeuvres achevées en février.

140 boulevard Montparnasse 75014 Paris

Ouvert du mercredi au dimanche de 13h à 20h jusqu'au 26 février 2017- Entrée : 2€

Lab 14, l'art en construction
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8 janvier 2017 7 08 /01 /janvier /2017 16:12

La MEP accueille jusqu'au 29 janvier, les deux artistes américains. Harry Callahan a vécu de septembre 1957 à juillet 1958 à Aix en Provence. Ce sont des photographies issues de ce séjour qui sont présentées dans French Archives. Il concentre son travail sur le graphisme des façades et sur les rues qui offrent des jeux d'ombres et de lumière superbes. C'est cette série sur les rues qui impressionne le plus. La maitrise avec laquelle Callaghan a su emprisonner ces noirs puissants et ces éclats blancs de lumière est impressionante. 

A travers trois séries de photographies, on découvre la maitrise du portrait et une certaine tendance au mauvais goût et à la facilité d'Andres Serrano. América, série inspirée par le 11 septembre, s'ouvre sur une photo du drapeau américain ensanglanté... Et présente, en portraits ultra colorés qui, si on aime ce genre photographique, sont plutôt réussis d'ailleurs, ce que l'Amérique a de plus ringard (mini-miss, Donald Trump...). De la série Klu Klux Klan sont exposés trois portraits où tiens ! on découvre un oeil derrière une cagoule. Suit la série Cuba, où enfin un peu de finesse vient habiter ses photos. La lumière, les couleurs offrent une belle palette de nuances et les personnes photographiées le sont avec respect. Respect ? C'est la question qui nous interpelle à la découverte de la série sur les SDF de New-York et de Bruxelles. Photographier des SDF et exposer leurs portraits, aussi beaux soient-ils, dans des musées est-ce irrévérencieux ou nécessaire ?

Andres Serrano et Harry Callahan à la Maison Européenne de la Photographie
Andres Serrano et Harry Callahan à la Maison Européenne de la Photographie
Andres Serrano et Harry Callahan à la Maison Européenne de la Photographie
Andres Serrano et Harry Callahan à la Maison Européenne de la Photographie
Andres Serrano et Harry Callahan à la Maison Européenne de la Photographie
Andres Serrano et Harry Callahan à la Maison Européenne de la Photographie
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28 décembre 2016 3 28 /12 /décembre /2016 15:52

L'exposition est articulée autour des trois tableaux que posséde le musée, Le Repas des pèlerins d'Emmaüs, Le portrait de la princesse Amalia von Solms et Le Portrait du docteur Arnold Tholinx, chacun illustrant une étape du parcours de Rembrandt : les débuts prometteurs, la gloire et les années de maturité et de vaches maigres avec un changement de style tranché. Ces trois tableaux sont accompagnés de peintures, dessins et eaux fortes prétés par le Metropolitan Museum de New York, l’Ermitage de Saint-Pétersbourg, la National Gallery de Londres, le Louvre, le Kunsthistorisches Museum de Vienne et le Rijksmuseum d’Amsterdam. On peut ainsi y voir entre autres les magnifiques Fuite en Egypte, Parabole de l'homme riche et Saskya en Flore. L'exposition est particulièrement intéressante pour la découverte des dessins et eaux-fortes dont Rembrandt était un grand spécialiste. La finesse des détails, la précision du trait sont impressionnantes.

Rembrandt au musée Jacquemart-André
Rembrandt au musée Jacquemart-André
Rembrandt au musée Jacquemart-André
Rembrandt au musée Jacquemart-André
Rembrandt au musée Jacquemart-André
Rembrandt au musée Jacquemart-André
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Rembrandt au musée Jacquemart-André
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17 décembre 2016 6 17 /12 /décembre /2016 00:20

18 oeuvres majeurs de l'artiste contemporain italien sont exposées dans les somptueuses salles du musée de la Monnaie. Cet écrin est un acteur essentiel dans la mise en scène de ces oeuvres étonnantes et provocantes. On peut notamment y voir deux pièces maîtresses de l'artiste : le pape Jean Paul II sous une météorite et le Hitler priant à genoux. Intrigant et rare.

Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
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Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
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Maurizio Catellan au musée de la monnaie
Maurizio Catellan au musée de la monnaie
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19 novembre 2016 6 19 /11 /novembre /2016 19:13

Le Musée d’Orsay consacre une belle exposition au peintre Frédéric Bazile qui fut contemporain et compagnon important des futurs impressionnistes Monet, Renoir, Manet, Sisley, Morisot, Degas ou Cézanne. Il a perfectionné son art avec et auprès d’eux, peignant d'ailleurs les portraits de Renoir et Monet et posant pour le très beau « Déjeuner sur l’herbe » de ce dernier. Mort très jeune (à 29 ans en 1870 à la guerre) son œuvre est restée méconnue jusqu’en 1910 où une exposition lui est consacrée à Paris. Puis sa notoriété s’est particulièrement développée dans les années 1950, quand les collectionneurs américains se sont intéressés à son oeuvre.

Le musée d’Orsay présente une soixantaine de tableaux et dessins où l’on perçoit très bien l’évolution du peintre. Ce qui frappe c’est la modernité dans la composition de ses oeuvres. La position des personnages, le cadrage nous renvoient à un travail photographique. Certains tableaux évoquent le Douanier Rousseau sans que toutefois il n’en soit jamais fait mention pendant l’exposition. Aux côtés des tableaux de Bazile, sont présentés des Renoir, Monet, Morisot, Cézanne… pour rappel de leur proximité. 

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12 novembre 2016 6 12 /11 /novembre /2016 21:54

Serguei ChtChoukine (1854 - 1936), riche industriel russe, a utilisé sa fortune pour donner libre cours à sa passion pour la peinture. Particulièrement intrigué par les peintres français, il a sans cesse bravé les modes et moeurs du moment en portant ses choix sur des peintres et styles picturaux audacieux, ne se fiant qu'à son flair et aux conseils de marchands d'art parisiens, allant jusqu'à acquérir des oeuvres qui le dérangeaient plus qu'elles ne lui plaisaient. Sa collection, à elle seule, réunit ceux qui sont aujourd'hui connus comme les plus grands représentants de la peinture moderne. Picasso, Matisse, Gauguin, Monet, Cezanne, Derain, Henri Rousseau, Van Gogh, Manet, Renoir, Vuillard, Pissaro, Toulouse-Lautrec..., figurent parmi les 275 oeuvres acquises.

Jusqu'au 20 février 2017, la Fondation Vuitton en présente 127 ansi que 31 oeuvres de l'avant garde russe. Au fil des 14 salles, on suit l'évolution des goûts de ChtChoukine qui suit celle de la peinture moderne. On y croise L'homme à la pipe de Pissaro, vingt-deux Matisse, le déjeuner sur l'herbe de Monet, Eh quoi ? tu es jalouse de Gauguin parmi 12 de ses oeuvres, une danseuse de Degas, vingt neuf Picasso... L'ensemble impressionne par la beauté des oeuvres et le prestige des noms qu'il réunit mais aussi par la personnalité de Serguei Chtchoukine, son ivresse pour la peinture qu'il aimait partager et sa vie romanesque.

La Collection Chtchoukine à la Fondation Louis Vuitton
La Collection Chtchoukine à la Fondation Louis Vuitton
La Collection Chtchoukine à la Fondation Louis Vuitton
La Collection Chtchoukine à la Fondation Louis Vuitton
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12 novembre 2016 6 12 /11 /novembre /2016 18:49

La Fondation Vuitton a invité, de façon pérenne et ce dès la création de la Fondation, Olafur Eliasson à occuper l'espace "Le Grotto" la coursive au pied des bassins. L'artiste compose une oeuvre de 43 colonnes triangulaires reflétant une lumière jaune et dans leurs parties miroir le reste du bâtiment et les visiteurs. Ce kaleïdoscope offre une infinité de perspectives qui fascinent le visiteur. Une forme d'art qui allie le majestueux et le ludique. 

Inside the Horizon d'Olafur Eliasson - Fondation Louis Vuitton
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12 novembre 2016 6 12 /11 /novembre /2016 15:44

Du 10 au 13 novembre, le Grand Palais accueille la nouvelle édition de Paris Photo. Ce salon dédié à la photographie, créé en 1997, reçoit chaque année un peu plus d'exposants, d'artistes et de visiteurs. Pour cette édition, 183 galeries venues de 30 pays différents présentent leurs artistes, jeunes en devenir, artistes installés ou photographes cultes. Cette année si la photo en noir et blanc, ancienne ou récente, semble dominer, on trouve toujours des artistes qui manient les couleurs vives, le superposage des tirages, l'ajout de peinture, le colllage, le découpage, tirant l'art photographique vers l'art plastique. 

Ci-dessous un tout petit aperçu subjectif de la diversité des travaux exposés : Robert Curie, Stephen Wilkes, Abelardo Morell, Agnés Varda, Valerie Belin, Alain Bublex, Caio Reisewitz, Christian Tagliavini, Clare Stand, David Lachapelle, Emmet Gowin, Erik Steffenson, Fred Herzog, Irvin Penn, James Hamilton, Jimmy Nelson, Joachim Schulz, John Chiara, Leyla Cardenas, Lek & Sowat, Lilian Bassman, Ljubodrap Andric, Massimo Vitali, Mattew Pillsbury, Mich Epstein, Michael Wolf, Miguel Rotschild, Nelli Palomaki, Paolo Ventura, Patrick Demarchelier, Philippe Ramette, Richard Avedon, Robert Polidori, Sebastien Riemer, Stephane Couturier, Stephanie Syjuco, Thomas Florschuetz, Vera Lutter, Vik Muniz, Wang Ninged, William Klein, Yoram Roth.

Paris Photo 2016
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Paris Photo 2016
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Paris Photo 2016
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11 novembre 2016 5 11 /11 /novembre /2016 18:50

La galerie Joseph accueille l'exposition Transmissions de Tiziani et Gianni Baldizzone. Pendant cinq ans et à travers les continents Européen, Africain et Asiatique, le couple de photographes italiens a rencontré une centaine de maîtres artisans et apprentis exerçant une quarantaine de savoir-faire différents. Ils les ont interrogé sur la transmission de leur artisanat et la relation qui lie les maîtres à leurs élèves. Les Baldizzone se sont concentrés sur des savoir-faires qui ont su se moderniser en conservant leur authenticité. Les très belles photographies, en couleurs ou en noir et blanc, accompagnées d'explications simples et claires sur les personnes et leurs mêtiers, montrent les gestes précis, la technique mais surtout les échanges, les regards, l'écoute. Beau, étonnant, instructif et réjouissant.

A voir à la galerie Joseph, 116, rue de Turenne à Paris jusqu'au 2 décembre. Des rencontres-conférences avec les artisans y sont également programmés le temps de l'exposition. Si Tiziana et Gianni Baldizzone sont présents à la galerie lors de votre visite, n'hésitez pas à les interroger sur leur travail, ils vous expliqueront avec passion toutes ces rencontres.

Tiziana et Gianni Baldizzone - Transmissions à la galerie Joseph
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5 novembre 2016 6 05 /11 /novembre /2016 15:52

Françoise Hugier présente un portrait de la Corée du Sud contemporaine à travers les photographies prises lors de séjours à Séoul en 2014.

La photographe donne à voir une Corée qui s'éloigne de plus en plus de ses traditions pour un ultra modernisme, menée par l'obsession de la réussite, le culte de la jeunesse, des écrans en tout genre, du mercantilisme et de l'occident. L'exposition débute par le portrait d'une adolescence fascinée par les groupes de K-pop (Korean Pop) et l'esthétique coloré et les physiques stéréotypés qu'ils renvoient. Les photos se concentrent sur le groupe Laboum (dont le sponsor est une clinique de chirurgie esthétique), leurs fans et le commerce qui en est fait. Les photos suivantes sont prises dans une sorte de thé dansant, à l'esthétique d'une modernité dépassée, pour couples d'un certain âge. L'évolution de la vie en famille qui mélait autrefois traditionnellement trois générations est évoquée à travers les photos de familles vivant dans un quartier des années 80 destiné à être remplacé par de hauts buildings et un bidonville où se retrouvent certaines personnes agées abandonnées sans ressources. Un espace central est dédié aux clichés pris lors de la visite d'un organisme qui propose à des jeunes gens de se préparer à la mort pour mieux se battre dans la vie, en les enfermant dans des cercueils. Sur les murs extérieurs de cet espace sont affichés les photos du pont des suicidés où des messages destinés à remonter le moral des suicidaires sont affichés. 

Ces photos de Françoise Hugier sont plus intrigantes qu'esthétiquement emballantes même si on remarque de beaux portraits. Les récits précis qui accompagnent chaque série éclairent de façon édifiante les oeuvres. Il ressort de cette exposition une impression étrange que la Corée du Sud n'est peuplée que d'enfants de tous âges fonctionnant comme des machines, à la fois manipulés et complices d'un monde-monstre particulièrement effrayant.

PS : Françoise Hugier accueille au sein de son exposition les photos prises dans le métro de Séoul par Julien Falsimagne. On y voit la quasi totalité des voyageurs plongés dans leur smartphone.

Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
Photos de Florence Hugier
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Photos de Florence Hugier

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22 octobre 2016 6 22 /10 /octobre /2016 18:26

Il ne nous est pas souvent donné l'occasion de découvrir plusieurs peintres Américains en un seul et même lieu. L'Orangerie nous offre ainsi un cadeau unique en présentant une cinquantaine de tableaux réalisés dans les années 30-40, prêtés par l'Art Institut of Chicago (organisateur de l'exposition), le Whitney Museum et le MoMA. Alors que l'Amérique suffoque sous la récession, les peintres expriment à travers leur art la détresse du pays et les inégalités qui y régnent. On retrouve, pour les plus connus, deux oeuvres d'Edward Hopper (auquel le Grand Palais avait consacré une impressionnante rétrospective en 2012), une oeuvre de Pollock qui clôt l'exposition et au moins cinq tableaux de Grant Wood, dont le célèbre American Gothic exposé pour la première fois en Europe. Les autres artistes sont, entre autres, Charles Sheeler, Oswaldo Louis Guglielmi, Aaron Douglas, Georgia O'Keefe, Doris Lee, Charles Demuth, Joe Jones, Morris Kantor, Reginald Marsh, Thomas Hart Benton...

A voir jusqu'au 30 janvier 2017

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20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 19:45

Cette belle rétrospectique présente une centaine de tableaux du fameux peintre belge. Le commissaire de l'exposition a choisi pour fil conducteur de son accrochage l'appétence de Magritte pour la philosophie. Mais pas de panique, l'exposition peut se visiter sans tenir compte de ce parti-pris d'autant plus que Magritte lui-même ne tenait pas à donner d'explication à ses oeuvres. On retrouve, accrochés sur les murs les tableaux les plus connus et familiers du grand public accompagnés par des oeuvres plus confidentielles, à qui n'est pas féru de l'oeuvre du peintre, telles L'Elipse ou La Moisson et la sculpture La Folie des grandeurs.

A voir jusqu'au 23 janvier 2017

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